JE DEVINE EN LEURS YEUX
Je devine en leurs yeux ce grand soleil ardent ;
Qu’ils retiennent en un souffle, que la ferveur surprend ;
D’où qu’ils soient sur la route, c’est le même chemin :
Ces ombres s’inclinant semblent tendre leurs mains.
Quelque part dans leur âme, mélodique prière,
La beauté suscitant l’allégresse première,
Corps et âmes, ils se tendent à l’infini divin
Et je perçois les chœurs qui portent leurs desseins.
Je devine en leurs yeux ce grand soleil ardent
Hommes faibles, jouisseurs, et plus impénitents ;
J’ai de l’amour pour eux en les considérant…
Quelque part dans leur âme, mélodique prière,
Le piano céleste sonne dans la lumière :
L’harmonie chante l’allégresse première
Pierre WATTEBLED – le 25 mars 2008
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