car un jour apparut la perle rare ,corps voluptueux ,caresses à profusions .
Du haut de mes 20 ans , je regardais cet être surement fait pour moi.
A ne plus dormir la nuit , mes mains décrivaient mon esprit en fusion.
qui se serait damné pour un peu qu'elle m'aime ,sans que jamais il n'y ai de pourquoi .
Belles , regardez bien , vous qui pleurez l'amour pour se monde éternel .
Regardez cet homme que je fus , larvé devant tant de beauté certaine,
combien j'aurais pleuré pour qu'elle ,si belle ,me voit au fond de mon tunnel .,
Me débattre avec peine , carquois empli de flèches face au dragon de peine.
Seul j'étais seul encore , elle ne me voyais pas , mon eurasienne , ma croix .
Mais elle n'y pouvais rien , elle n'avait que 16 ans , 16 petits printemps,
jusqu'à ce matin là où à l'orée des vies , des jeunes filles enfants
l'été vint me la prendre comme un du , comme un bien que la mort s'octroie .
Je vous parle de se monde qui fait que devant l'éternel on offre roses blanches.
Je vous parle de moi perdu sans elle depuis déjà longtemps ,ne connais plus Dimanche.
Devant cette tombe dans se grand cimetière loge de marseille,
je viens me recueillir tel un fan , tel une âme en peine,
implorant qu'elle veille
Sur mon âme mortelle si belle en ma jeunesse , moi qui demeure en veille .
georges
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je suis un ètre de lumière , je vais je viens , je disparait . La nuit n'est pas mon ennemie , je suis un hypnotiseur aussi !
