Femme nue d'une grande beauté
Posséde en son beau visage
L'éclatante lumière étoilé
Rayonne devant les mages
Au soir la lune s'ouvre à son tour
Couvre la chevauchée argenté
Après avoir baigné son flanc
Dans l'océan bleuté de ses aînés
Sur un char étoilé emporte l'infidèle
Vers le trou béant de ses nuits éclairs
Le reflet de son visage s'assombrit
Car son coeur épris fut surpris
Latente, ne croyant plus à l'amour
Elle s'attarde sur Endymion
Contemple son allure douce
Son corps en ébullition
Elle implore l'éternité
De pouvoir protéger son aimé
Au-delà de cette vie lunaire
Sous un corps qui n'est pas de chair
Arlette Philbois
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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.