Que veux tu me dire
Toi la page blanche
Je vois ton sourire
Avec mon stylo je planche

Moque toi, tu étais mon réconfort
Je me confie à du papier
J’ai peur, je ne suis plus fort
Mon cerveau a vacillé

Tu as gagné sale maladie
Mon cerveau tu le ronges
Tu le vides de son esprit
Adieu tous mes songes

Encore quelques éclairs
Salvateurs de lucidité
Je vois un peu clair
Le temps m’est compté

Quoi une vieille maison ?
Mais qui sont ces gens ?
Adieu j’ai perdu ma raison
Pourtant je suis vivant

Christian bombe

pas facile d'écrire lorsqu'on est malade pourtant tu partages avec nous ce dur moment devant cette page moqueuse et tu l'as battue grâce à ta plume qui te donne raison

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@ textes protégés

Joli poème dont je souhaite très fort qu'il ne soit qu'une fiction !

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

C'est une fiction quoique proche de moi

Merci de vos encouragements

Christian

une belle description de ce qu'est l'absence