Si tu prétends que je manque de liberté
Et qu’un boulet m’empêche de voler
Le peu de liberté qui me reste
Désormais t’appartient.

J’affale la grand' voile
Réduis la voilure
Jette l’ancre
Et reste au port.

Nous ne ferons pas le voyage ensemble
Pourtant mes voiles faseyent
Et mon cœur tressaille encore
Dans le vent qui nous pousse.

Mais si les nuages s’amoncellent
Je t’attendrai au bout de la jetée
Et te suivrai des yeux
Aussi loin que pourra porter mon regard.

Dans ce rêve que je voulais si grand…
Si grand qu’il pouvait nous conduire
Tous deux jusqu’au bout de la terre
Je te souhaite bon vent !

Palmito

magnfique cher ami
il convient bien avec mon dernier poème alors je te l'offre aussi...

merci c'est tres beau ce départ...

Bon vent, je reste au port... les mots sont nets, sans équivoque.
Très joli poème sur la séparation quand rien ne va plus.

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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

un départ, une rupture , un aller sans retour

Beaux vers , musique de la rime agréable et..... belle façon de se quitter.....

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http://voiedoree.oldiblog.com/

Renée :

Merci pour ton texte magnifique, ma chère Renée !

Et le hasard à voulu que j'écrive le mien sans avoir encore lu le tiens (que je ne connaissais donc pas !)

Palmito

Merci de votre visite : Nadoubui, Hesperance, roky et Voidorée.

Au plaisir de se revoir et de se lire car ce n'était qu'un faux départ !

Palmito

Mon cher Palmito
mon poeme"la rupture" n' etait
peut être que fiction mais le tien
me parait plus vrai que nature.
Mais vaut mieux larguer les amarres
que de rester à deux et malheureux.
J' ai hésité à lire ton poème mais je me serai
mordu les doigtsde ne pas l' avoir fait. J'ai adoré.

Un vent de tristesse à soufflé sur les voiles de ton bateau.
Au plaisir de te lire encore.

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