Merci Kendor, pour ton compliment, qui me touche...
Merci Douceur, tu es plus réaliste que moi.
Merci Baudouin pour ton com, plein de bon sens et de sagesse et que je ressens le besoin de commenter (pour cette fois, tant pis pour la règle du "un seul post de remerciements" - que je n'ai toujours pas très bien comprise, car j'en vois souvent plusieurs après presque tous les poèmes).
Citation :
Mais c'est le risque... À chacun d'être vigilant. Mais hélà s, ne prêtons-nous pas attention à ce que nous voulons entendre?
Bien sûr que oui, mais les choses sont-elles bien différentes dans la vraie vie ?
Citation :
Faudrait-il toujours se méfier? Certes, non. Mais jamais se déconnecter de la réalité qui nous entoure. Ne pas nous isoler uniquement en regardant cette fenêtre vers le monde sentant la liberté alors que nous en deviendrions tout simplement esclaves...
Un besoin de s'évader, mais parfois pour passer d'une cellule à une autre... restant tous simplement un prisonnier dans la prison de notre désespoir...
Comme tu as raison... Quand la "liberté" commence à ressembler à une addiction, est-ce encore la "liberté" ?
En bref, l'amour virtuel existe-t-il ou n'est-il qu'une illusion dans "le désir de s'évader" comme tu le dit si bien.
Brassens a écrit dans "le testament" :
Avant d'aller conter fleurette
Aux belles âmes des damnées
Je rêve d'encore une amourette
Je rêve d'encore m'enjuponner
Encore une fois dire "je t'aime"
Encore une fois perdre le nord
En effeuillant le chrysanthème
Qu'est la marguerite des morts...
Et je me pose la question... Est-ce que ce ne serait pas uniquement le besoin "d'encore une fois perdre le nord" ?
Si je pouvais avoir des avis, étant donné que je ne comprends rien...
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Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.