Mon monde s'est noyé des larmes, le feu est éteint,
Cette âme s'est envolée, vers d'autres univers.
Il restera, ce grand génie, qui ne sera jamais atteint,
Et j'écris, mon ami et maître, pour toi, ces vers.
Ton art, Bobby, a fait grandir en moi, l'amour parfait,
Celui qui m'a donne l'envie, Ã suivre ce chemin
Qui frôle le soleil, en refusant comme toi, l'imparfait,
Le médiocre, a celui qui fit, un très jeune gamin.
Disparu trop vite, laissant, en moi, la trace indélébile
D'une vie sacrifiée, heure après heure, a Caissa,
Déesse et maîtresse, qui a fait naître la longue idylle
Qui nous a fait vivre et, sa voie ardue, nous attira.
Au revoir, Bobby, nous penserons, toujours a toi...
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Pour voir la vraie beauté d'un éclat de la lumière il faut être dans le noir absolu...