C'est une vague qui s'en vient et s'en retire,
Et c'est sur son cœur ces quelques larmes qui dansent.
C'est au sein qu'il est allé boire sa souffrance,
Cette blessure qui le repousse et l'attire.
Ô jolie fleurs, toutes vos pétales l'inspirent;
Lui murmurant l'espérance de sa romance
Et lui hurlant la démence de sa sentence.
C'est le passé qui contre l'avenir conspire.
On peut se voir mourir, enfant, sur un sourire,
Celui là même que tout chérubin désire,
Qui devrait bercer toutes les adolescences.
C'est la détresse qui vient nourrir son errance.
C'est une vague qui lâche dans un soupir
Les pleurs de l'absence et le poids du souvenir ...
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