Sylphide la fée
Elle ne pensait pas traverser la forêt
En pleine nuit sous les étoiles vibrait
Un chant d'amour aussi épais
Que la brume qui l'entourait.
Au dessus de sa tête l'accompagnaient
Trois petits êtres, des étincelles tournoyaient
Derrière le cheval blanc qui marchait
A deux, leurs pas lents s'inventaient...
Une existence à la saveur de l'univers
Une chance suivrait l'étoile à l'envers
Dans le miroir d'eau ou étincelle légère
L'appartenance pour une vie éphémère.
Arlette Philbois
(2007)
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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.