Evade-toi des vagues,
Du bruissement des villes,
Fuis les plaines stériles de nos songes arides,

Poème, déploie tes ailes
Comme un grand livre ouvert

File tel un avion dans les nuits sidérales
Aux astres de lumières plus vibrants qu'un soleil,
Sur les traces et les rêves d'explorateurs célestes
File comme une fusée vers l'infini cosmique
Vers d'autres galaxies où naissent les étoiles...

Vogue sur l'Inconnu
Des mondes incréés,
Nage jusqu'à te perdre
Aux confins du Néant

Lchabry

un beau voyage cosmique !
Amitiés.
Pat.

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on ne peut jamais se reposer sur l'amour-et c'est pourtant sur lui que tout repose..... Jean Rostand

merci pour ce beau voyage

Salut Lchabry
Merci pour ce poème du renouveau,un domaine inconnu aux limites du Néant même.c'est de la vocation du poète d'élever sa création vers des horizons lointains et purs,hors de la médiocrité,un appel à sauver la bonne poésie du marasme et de la "rimaillerie"
Merci
Amitiés
Farid

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

C'est très beau ! merci pour le partage.Amitiés

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Magnifiquement exprimé : la poésie rejoint l'universel et transcende toutes chose et ses mots reconstruisent le monde et prennent une dimension cosmique.

Krisfi

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Toutes les choses ont leur mystère, et la poésie, c'est le mystère des choses !

(Frederico GARCÍA LORCA)