Je pensais qu'avec moi tu ne serais pas heureuse,
Que je ne pourrai te donner tout l'amour que tu désirais.
Mon coeur à cette époque luttait contre les fantômes de
mon passé.
Te rendre ta liberté était la seule preuve d'amour que je
pouvais te donner.
Je sais aujourd'hui que je me battais contre des moulins à vent,
Que je me suis condamné à être de l'amour un pauvre pénitent.
Je ne sais quoi faire de cette liberté,
Que je voulais tant retrouver,
Je suis peut-être libre,
Mais je ne sais plus sourire.
Je fais l'Auguste pour cacher mes sentiments
Mais au fond de moi, je ne suis plus qu'un Clown Blanc.
Loin de toi, mes nuits ne me laissent plus tranquilles,
Chaque fois que je te vois, je me sens comme en exil.
Mon coeur frisonne,
Comme avant toi je déraisonne,
Tu vis à quelques pas de moi,
Mais sur notre histoire désormais
Tu as tiré un trait,
Après l'amour, l'indifférence s'est installée
Car je t'ai trop fait pleuré,
et moi j'ai froid en plein été.
Quand tu l'as rencontré,
Une larme glacée, sur mon coeur a coulé,
A cet instant encore j'aurai pû te retenir,
Mais sur de moi, je t'ai laissé partir,
En emportant au loin tous nos souvenirs.
Et aujourd'hui je suis toujours prisionnier de toi.
Je pensais notre histoire finie,
Pourtant je me retrouve seul sur le quai de ma vie,
Avec le train de mes regrets qui siffle toutes les nuits.
A chaque fois que je croise votre chemin,
J'ai si mal, de vous voir main dans la main.
A chaque coin de rue, ton ombre me poursuit, jusqu'au
bout de mes sombres matins.
J'ai joué avec tes sentiments
Je me croyais trés fort
J'ai mon perdu mon amour
C'est moi qui avait tort
Alors adieu et sois heureuse
Car tu as droit au bonheur
que je n'ai pas su te donner...
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C'est pas écrit dans les Livres, que le plus important à Vivre, c'est de vivre au jour jour, le Temps c'est de l'Amour Pascal Obispo