Page blanche…
Sur une page blanche
Je reste en transe
De longues heures d'errances
Tendant unir mots et délivrance
Le temps est de passage
Pleure pour souiller la page
Fuir mon encrier
Des maux à vouloir crier
Je reste là béat
La tête appuyée sur cette feuille
Mon coeur s’effeuille
Ma main contre aléa
Je n’ai plus rien à dire
Précisément rien a redire
Mes pensées s’envolent
Mes douleurs survolent
Maudire pour mieux écrire
Est-ce la force de la page
Ne dois-je pas décrire
Mes mots suspendus aux nuages !
merci pour ce joli poème !!!