Etoiles
De nacre et d’argent, perle livide d’un blanc d’albâtre que quelques ingénus auraient nommé soleil…
De lueur et de feu, ténèbres avant l’heure où tombe le jour d’un monde éthéré qui, loin de nous, se meurt dans l’azur.
Brasier froid suspendu dans le temps, si distant et si proche, tel un baiser divin.
Guide des poètes qui marchent sous la lune et de l’homme en noir qui passe, telle une ombre, sous nos fenêtres endormies.
Astre du temps que l’on ne peut qu’aimer, quels lointains espaces embrases tu de ton silence ?
La nuit se couche, le jour t’efface, était ce une illusion ?
Astre du temps, mais ou es tu parti ?
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Il y a plus en l'homme qu'une prison de chair
Et plus dans le destin que le fil des Parques
Plus dans l'amitié qu'une mode grégaire
Plus dans l'amour que la flèche d'un arc