Fable.
En tous lieux et temps, il est toujours advenu
Que chat et chien ne se sont jamais entendus.
Mais voilà que dans deux pays, tous deux voisins,
Au même moment, un nouveau souverain vint.
L'un était un chat, l'autre un chien
Et ne s'entendaient pas fort bien.
Chacun pensait l'autre peu digne de régner
Mais ils voulaient un fait pour les départager.
Le chien, sûr de gagner, dit:
"J'ai une idée, cher ennemi.
Chacun lévera son armée,
La guerre sera déclarée,
Et celui qui l'emportera,
Sur les deux pays régnera."
Le chat, fort alléché par le gain, accepta,
Et c'est donc ainsi que cette guerre éclata.
Le chien prit pour armée les souris citadines,
Le chat, les souris campagnardes, leurs cousines.
Ainsi, les souris entamèrent le combat,
Combat d'une guerre ne les concernant pas.
Les armes transperçaient les corps,
La chair, les os, jusqu'Ã la moer.
Les souris lentement tombaient
Et jamais ne se relevaient.
Les cousines tentèrent de se rebeller,
N'en pouvant plus de toutes ainsi s'entretuer.
Mais le chien menaça les souris, son armée,
De s'amuser à les tuer,
Tandis que le chat, lui, promit à son armée
De tranquillement la croquer.
Et ainsi, le combat reprit,
Otant chaque jour plus de vies.
Chaque souverain dans son palais attendait,
En se demandant quand enfin il gagnerait.
Mais parès avoir envoyé
Les plus jeunes, les plus âgées,
Que toutes se soient fait tuer,
Plus de souris à envoyer,
Envoyer combattre pour un chien et un chat,
Chat et chien qui ne s'entendaient simplement pas.
A quel camp appartenait la dernière morte?
Et donc, qui des deux rois logiquement l'emporte?
Chat, chien, tous deux n'en savaient rien.
L'un dit alors, c'était le chien:
"Nous n'avons pu nous départager, ennemi
Alors, que chacun règne donc sur son pays,
Jusqu'à ce que l'un d'entre nous découvre un jour
Le moyen de nous départager pour toujours."
Le chat vint approuver le chien.
Ainsi, chacun garda son bien
Sur lequel il continua de régner
Comme si rien n'était venu les déranger.
Rien ne semblait avoir changé,
Sauf pour deux petites armées,
Armées de petites souris
Ayant totalement péri.
Hélas! On voit que de tout temps
Les petits ont pâti des bêtises des grands.
J'ai écrit cette fable pour mon cours de français, j'aimerais savoir ce que vous en pensez, il fallait qu'il y ait pour fin cette morale de la Fontaine. Merci d'avance!! Et si vous avez une idée pour un titre, je n'arrive pas à en trouver.
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il n'existe de mot dans aucune langue pour exprimer ce que je ressens
pour toi... :-D
qui tente rien n'a rien, et qui tente tout est assis debout (dixit moi)
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