Dans une soirée printanière
Autour d’un guéridon absorbant un café
J’étais calme et fier
Personne n’osait m’approcher
Pour que mon temps ne soit pas gâché
Quand, tu étais entrée d’un air attrayant,
Ainsi orgueilleuse, pleine de confiance
Promenant tes yeux luisants dans tous les sens
Que cherchais-tu ? Personne ne le savait
Mais les flèches tirées de l’arc de tes yeux
Avaient atteint le fond d’un cœur attisé
Qui’ depuis lors n’a pas pu être rétabli,
Souffrant, il cure ses profondes blessures,
Qui semblent ne plus jamais être guéries ;
Laissant en lui que des gravats…
Ahmed Moudrikah
Maroc
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la vie n'est qu'un voyage dans le temps et l'humanité n'est pas éternelle Soyons donc optimistes