Vous qui aimez tant vivre dans le drame
Ö gentes Dame
Refoulez donc ces larmes
Qui vous servent d'armes

Pour nous mettre en émoi
Face à vos redoutables charmes
Que sont vos jolis yeux de bois
A vos côtés peu de femmes

Ont pu rivaliser
Plus d'une dent se sont brisées
En voulant briser
Votre coeur glacé

Faible ont été les chances
Un jour de vous moucher
Inteligente et rusée
Accrue était notre vigilance .

Quand d'un regard
Vous fusilliez
Tous ceux qui par hasard
Sur votre chemin se trouvaient

Bandit de la haute cour
Vous étiez la reine des alentours
Disparaissant en ce beau jour
De nos vies pour toujours

Laissant derrière vous
Pauvre de nous
Adorations et spéculations
Vous étiez un tel tourbillon

Que votre tête aujourd'hui
Avec joie nous décapitons

Un poême tres percutant !
Il est vrai que les nantis du pouvoir n ont pas fait que des heureux...
et cela continue .

Sandrine

un joli poème emprunt de vérite

Coucou Hanene
Un poème sec et tranchant!!!
Contente de te revoir parmis nous mais tes passages se font trop rares

----------------
Soy de un lugar donde el viento se calma al llegar.............

À lire ton texte, j’ai comme des frissons qui coulent tout au long de mon corps apeuré, et dire que le pouvoir ne sert à rien, est immensément faux. L'AUTRICHIENNE est beaucoup plus qu’une simple manipulatrice. Amicalement à toi

----------------
seul avec rien

merci à vous pour vos commentaires contrusctifs je dois dire que je me suis un peu laissé prendre par surprise à la lecture de mon texte je n'en connaissais pas l'histoire avant de l'avoir terminé des fois c'est bizzare quand on ecrit un texte si nous savons comment il debute nous ne savons que très rarement comment il se terminera.

encore merci et à très bientôt

----------------

Des contatations si vraies .

----------------
MB CANDIDE