Sueurs nocturnes
Qui aurait pu se douter,
Mais j'ai le désir d'en parler,
Quand vient le soir...
De me mettre au lit.
Je m'installe confortablement,
Quand la nuit, la chaleur,
Monte le long de mon corps,
C'est l'horreur...
Je quitte ma nuisette,
Mais cela ne suffit pas,
L'aérosol est prêt de moi,
Quelques pressions ici et là ...
Un effet de bien-être,
Qui passe en peu de temps,
Alors, je change de lit,
Dans le salon, il fait frais,
Un bonheur à souhait.
J'arrive à m'endormir,
Quelques heures...
Mais la bataille continue,
Un gant bien frais est bienvenu.
Au réveil, je suis fatiguée,
D'avoir tourner, et chavirer,
Dans mon appartement,
Ou ma moitié est reposé...
Seules celles qui connaissent,
Cet état peuvent comprendre,
La ménopause une frustration,
Une étape difficile qui déboussole.
Les sueurs nocturnes s'évaporent,
Au bout d'une longue période,
Qui change notre humeur,
De la tristesse, Ã la joie...
On ne se doute pas, mais la femme,
A un cycle biologique compliqué,
Ou elle même s'en trouve chamboulée,
Pour une autre étape de sa vie.
Arlette
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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.