Reviens...
Comme un ouragan qui se déchaîne,
Comme un océan qui nous entraîne,
Je t’ai perdu à une telle vitesse,
Que je n’ai même pas pu te dire au revoir.
J’attendais peu de toi,
Une main pour me réconforter,
Ou mĂŞme un sourire Ă me faire partager,
Mais je n’ai reçu que des regards anodins.
J’irais pleurer tes larmes, protéger ton cœur,
Trouver en toi ton ultime âme sœur,
J’irais creuser ton âme revendre mes péchés,
Rassembler ce qui nous à séparé.
Coule une larme sur ma joue, seule, triste
Dans une totale solitude, avec l’idée,
Que je ne pourrais jamais te revoir,
Qu’il n’y avait plus aucun espoir.
Pourtant j’y crois encore,
Ai-je raison, ai-je tort ?
Je ne sais pas,
Mais j’y crois.
Derrière ma fenêtre, regardant la pluie tomber,
Je te revois courir et rire, et t’amuser,
D’un long soupir je repense à tous ces bons moments,
Et je regrette jour pour jour de ne pas avoir vécu mon présent.
Si seulement j’avais su dire les mots,
Les paroles, les termes qu’il faut,
Pour te dire combien tu comptais,
Pour moi, pour toi, pour nous…
Le son de ta voix tel une torrent d’émois,
M’emmenait près du ciel,
Et me donnait des ailes,
Juste au son de ta voix.
J’aurais noyé les océans et brûlé le feu,
Changé les saisons, si tu le veux,
J’aurais décroché le ciel,
De punaiser tes ailes.
Les yeux pleins d’amour et de chagrins,
Je pense encore Ă toi chaque jour,
Chaque midi, chaque nuit, chaque matin,
Sache que ton nom me sera gravé pour toujours.
Je pleurerai le sang, je pleurerai tes yeux,
Je pleurerai tes mains, tes paroles, tes sourires,
Je rêverais ton corps, ton âme et ton esprit ,
Et cela ne pourra cesser de continuer.
Sache que l’amour est roi,
Dans mon cœur comme le tien,
Mais tout s'est bouleversé,
Quand elle est arrivée.
J’aimerais tant de dire ce que je ressens,
Laisser mon cœur libérer ses sentiments,
RĂ©veiller le chagrin qui dort paisiblement,
Dans mon âme qui souffre tout le temps.
J’irais prier le ciel, la terre, les flammes, le vent,
Implorer le soleil de ton enchantement,
Pour revoir ton visage m’adresser un sourire,
Et ne plus jamais te laisser repartir.
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