Belle et fière, pourtant peu sûre d’elle même,
Doutant à chaque fois du jeune homme qui l’aime,
Qu’elle avait rencontré au temps de ses épreuves,
Et dont les mots venaient tels une belle preuve
D’amour, qu’elle n’osa croire dans le bonheur
De cette relations qui séchait tous ses pleurs.

Alors il entendit qu’il n’était qu’un menteur,
Et récolta ainsi dans ses yeux tous les pleurs
Qui coulaient avant sur les joues de son amante
Qui ne le quittait plus comme un fantôme hante
Rêves et nuit blanches d’un tout petit enfant,
Que de son innocence il ne savait comment.

Il ne comprenait pas, il l’aimait simplement ;
Elle ne croyait pas qu’il l’aimait tellement,
Et qu’aucun incident n’aurait pour lui changé
Ses sentiments. Et rien ne put les déranger,
Si ce ne fut soudain ces émotions pressantes
Qui firent d’elle une froide femme passante.

Sa passion se fana, mourant d’une mort lente,
Lui qui avait voulu que toujours elle sente
Comme font les enfants qu’on aime sans parole,
Sans soupçonner le mal et le cœur un peu fol ;
Mais il fut balayé juste par des caprices
Qu’il n’aurait pas pensé venant de sa complice.

Moi, je n’ai rien compris, sous moi d’un coup tout glisse !
Car tu n’avais rien dis, donc pourquoi ce supplice ?
Je voulais tant te voir mais seul pendant des heures,
Femme, tu m’as laissé en proie à mes erreurs ;
Pourtant moi j’aimerai la fille si petite
Que j’avais vu sortir du coeur d'une amanite. .

Trés beau texte




Arlette

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

Byhel pour ce ^poème tout à fait plaisant!!Des pleurs ,de la tristesse ,il faut sécher ses larmes...et le soleil à nouveau brillera au dessus de ton étoile

Incompréhension d'une fille qui ne peut pas croire à l'amour qu'on lui porte car elle doute rtrop d'elle même.
C'est triste...mais il te faut tourner la page car tu ne peux sans doute rien pour elle. Il faut qu'elle même trouve, ou retrouve, confiance en elle. Alors elle pourra avoir confiance en l'autre.
Amitiés