il était libre de ses choix,
Il était maître de sa vie,
Maintenant chaque fois qu'il en fait,
Il ne peut s'empecher de chercher ton avis;
Il était seigneur d'un monde doré,
A présent tu règne en secret sur chaque instant gercé,
qu'il reste de sa vie.
Hier encore il était avec toi,
La lumière de ton souvenir,
l'illumine et le réhauffe,
Même sous ce givre,
Ta pensée est un artifice,
Qui agit sur lui comme le soleil par jour de froid,
Et tandis qu'il m'en répète chaque secondes,
Je vois le feu de ses yeux d'or se réveiller par toi,
Son corps se tendre a chacun de tes mouvements,
ce violent frisson d'extase vous parcourir,
Toi par jeu lui pour le pire,
Tu n'es qu'ordinaire,
Bien qu'il te croit supérieure,
Tu danse dans son regard quand tu marche au dehors.
Le vrai n'est qu'un détail quand, toi petite fille fragile,
Tu l'aborde avec tant de douceur,
Sa méfiance sombre dans la fosse que lui ouvre son orgueuil,
Injustement ébloui par le tendre éclat de ta solitude,
Tu tue tous ces acquis tout ce qu'il a appris,
En un sourire tu les réduis,
car rien ne semble lui servir
ô sentiment stupide, vulgaire culpabilité de rêveur vainqui ne vi plus
Depuis qu'il t'aime sans t'avoir toucher.
Ô haine envers lui même de continuer a croire que t'avoir froler lui rendra sa gloire

superbe texte qui me rappelle bien des souvenirs rassure toi lorsque les paillettes s'estompent et nous révèlent l'etre aimé on est souvent heureux de ne pas avoir connu plus

L'apparence, toujours l'apparence qui nous cache la réalité et nous fait croire à l'existence du rêve !
HONORE

tres beau texte

bravo c'est exactement ce que je ressens entre amoureux déçus on s ecomprend c'est magnifique tu as vraiment du talent jeune homme