Cachée par l’azur bleu, et aux confins du ciel,
Une étoile m’attend quand sonnera mon heure,
Une étoile magique où personne ne pleure,
Je t’y retrouverai sur un bel arc-en-ciel.
Les journées passeront, douces comme le miel
J’oublierai, près de toi, chagrins antérieurs,
Dans le recueillement, sous un zéphyr rieur
De rose et de jasmin, un souffle immatériel.
Et nous nous aimerons sans répit et sans trêve,
Chaque moment pour nous restera comme un rêve
Dans une éternité d’amour renouvelé.
Les minutes seront comme serties dans l’or
Telles camées précieux par les dieux modelés,
Pour des plaisirs sans fin qui prendront leur essor.
Le 3 août 2007
----------------
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)