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L'Homme, sa condition sur nore planète, le rapport complexe qu'il entretient avec cette terre, ses folies, ses espérances, ses indécisions, ses excès, ses prères, ses responsabilités sont abordés avec une grande tendresse et un grand réalisme par ces merveilleux vers ciselés de main de maître!

Comme à l'accoutumée, tu emballes nos esprit par le vertige judicieux de tes paroles qui toutes, trouvent un écho dans les âmes et les coeurs!

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membre banni pour non respect des membres et du règlement !

Ma chere Gwenaella , je crois que tu aurais pu rivaliser avec Victor Hugo pour la grandeur et la profondeur de ton expression !
Tu peins ici un portrait remarquable de la complexité de l homme et , de surcroît , tes idées relevent d une magnifique philosophie .
Ovation a toi , poêtesse des lumieres !

Sandrine

Un poème magnifiquement mené du début jusqu 'à la fin!!Quel talent ,quelle fougue dans l 'écriture!!Un plaisir de lecture!!

Que l'homme est petit quand il se veut grand alorsqu'il peut être si grand quand il sait se faire humble et petit !
Très beaux textes.
adn

C'est une très belle et riche réflexion dans laquelle tu fais preuve d'un vent poétique puissant... L'humain saura-t-il se grandir pour autant ? Il ne faut pas en douter, mais le chemin est long et difficile... A chacun de le paver à sa façon.
Amitié

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

Guenaella,

j'ai lu et apprécié ces rimes , il est vrai que l'homme est déjà un dangereux présateur pour lui et pour les autres, donc avoir tout et ne jamais se satisfaire d'avoir pour désirer encore plus ne mêne jamais bien loin et lorsque vient la chute, cruelle est la déception et la désillusion
bisou du loup

superbe poême..J'ai énormément apprécié..Quel rythme dans tes vers!!!
Merci Gwenaella

tout simplement DIVIN, pour moi un véritable coup de coeur
bises

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Mes amis, revedorient, Sandrine, nad 34, adn, chris-ray, leloup, renouveau, Annie, je vous remercie pour vos commentaires qui me touchent énormément.
Oui, l'homme, un risque à courir... Et nous courons! Puissions-nous savoir où et nous arrêter à temps!

Sandrine, mon amie, j'ai adoré ta signature, mais ne compare pas ce qui n'est pas comparable: HUGO, s'en est allé Géant! il demeure, en nos coeurs, Solennel, tandis que moi, je ne suis que pauvre mortelle.

Sincèrement à vous,

Gwenaella

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