J'ai traversé des paysages
Des îles aux saveurs inconnues
Des villes simples ou sauvages
Des plages bleues de sable nu.

Sous les cocotiers des tropiques
Mon coeur a retrouvé la paix
Au fin fond de la Martinique
Sur une plage abandonnée.

J'ai dans les yeux le bleu des vagues
Qui s'ornent d'or et de diamants
Quand le soleil au creux des algues
Jette un regard sur l'océan.

J'ai dans le coeur comme une fête
Comme un refrain : " Adieu foulard"
J'ai la mémoire qui s'arrête
Parmi les chants du peuple noir.

Mon âme est restée aux Antilles
Dans un coquillage, endormie.
Le vent du large pour famille
Berce mon coeur, porte ma vie.

Une île où j'ai eu beaucoup d'émotion moi aussi il y a quelques années.

Merci pour ce magnifique poème !

merci pour cette ballade sur cette ile ou je ne suis jamais allée

Belle évocation des Antilles. J'aime particulièrement la dernière strophe.


Mon âme est restée aux Antilles
Dans un coquillage, endormie.

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C'est vraiment magnifique...je n'ai jamais vu la Martinique, mais à te lire, ça doit être fantastique!

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Sólo es posible avanzar cuando se mira lejos - José Ortega y Gasset
(on ne peut avancer qu'en regardant loin)

Magnifique description de ces endroits de rêves.
Merci pour l'évasion.

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Magnifique poème sur la martinique
bravo mon amie, moi aussi j'ai beaucoup aimé cette île quand j'y suis allée, mais je n'y suis pas restée très longtemps.
et amitiés.

tres jolie poéme bravo