Pardon pour mes erreurs de termes, compréhensibles dans le contexte. Dans une école d'accordéon, en 1953, il y avait le musette et l'autre musique, dite "classique", qui était considéré comme la musique sérieuse.
Pour Monsieur tout le monde (pas pour les spécialistes), la musique "classique" allait de la renaissance aux contemporains de l'époque. On appelait cela, en ce temps, la musique "sérieuse" ou "la grande musique". Les Strauss, les opérettes, le bel canto étaient catégorisées dans la "Musique légère". Il me reste beaucoup de traces de cette époque, hélas et, comme en poésie je suis un amateur, en musique j'en suis un aussi, mais toujours curieux de découvrir plus.
Disons alors, pour parler ton langage associé au mien, qu'une mélodie "baroque" a orienté mes goûts vers la "grande musique" et "la musique légère".
Je n'ai pas, dans la musique, tes connaissances sémantiques, et je ne les aurai jamais. Je n'ai aucune prétention en musicologie.
En fait la c'est la musique elle-même qui m'intéresse et la découverte ou redécouverte de compositeurs, d'interprètes qui apportent autre chose que les compositeurs et les interprètes très courus. Quelquefois ils se distinguent dans une seule oeuvre où, lors de la composition ou de l'enregistrement, ils sont comme en état de grâce. Mais ces enregistrements m'apportent une autre vue de l'oeuvre. J'ai souvent, pour un morceau de musique donné, plusieurs enregistrements et j'écoute plutôt l'un que l'autre en fonction de mon état d'âme du moment.
J'espère que ces explications pourront clarifier la situation. La musique elle-même est plus importante, je crois, que le terme de classification qui s'y attache, car c'est elle qui nous parle et pas son nom catégoriel.
Au plaisir d'écouter tes contributions musicales à ce forum, où tes précisions sémantiques qui seront utiles à tous, et surtout à moi, qui en a bien besoin.
Bonne fête de Pâques.
Amicalement et poétiquement
daniel46
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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)
