FENÊTRE SUR LA VILLE

Le rideau qui frissonne
Et le chant du dehors
Bruit confus qui résonne
La fenêtre entrouverte
Sur la baie de Toulon
La vedette, quai laissé
Donne un coup de klaxon
Drapé dans le voilage
Tu regardes sans voir
Rêves d’autres rivages
D’îles et de paysages
Et c’est toi qui voyages
Capitaine ou matelot
Le skipper du bateau
Les Antilles ou bien Rio
Scotché à ta fenêtre
C’est ce que tu crois être
Un touriste du temps
Une vie en partance
Hiatus, un temps mort
Et le flot des regrets
La vie n’a pas voulu
Ou toi, tu n’as pas su
La faute à pas de chance
"Je n’entends plus claquer
Les voiles dans le port"


Parceval

Des images nostalgiques qui défilent au vent marin .

Bonsoir Cher Ami poète Parceval,

Beaucoup de nostalgie émane de ta magnifique poésie émouvante !



Belle soirée Cher Ami poète Parceval !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Un superbe poème très touchant !

Bonsoir Parceval

Une mélancolie émane de ce touchant poème, des rivages voulus mais jamais atteints.

Amicalement Franie

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Très belle invitation au voyage, partir à la voile, décoller du rivage en partance pour l'aventure vers le lointain horizon.

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