La voyelle en vient et va
Inaugure un son au spectacle
Ou que la mesure est à plat.

Le dilemme est ce qui se racle
Ainsi qu'un gage en éviction
Où se destitue un miracle.

Quel symbole à la dérision
N'a pas le sens en finesse
A ce qui lui fait décision.

Quelle est cette ombre qui ne cesse
De s'en remettre à ce qui plaît
Pour destituer cette pièce.

Or il n'y a pas que le lait
Qui fait le cours de la rivière
Ainsi que son espoir distrait.

Mais quelle est la montée du lierre
Où le verger est son éclat
A ce qui sauve la misère.

La voyelle en vient et va.

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

Une intéressante réflexion sur le son et la graphie de la voyelle, qui offre sa petitesse en un devenir étrange à tous les regards !
Un poème bien original et fort intéressant !

Bonsoir Sphyria,

La voyelle n'est souvent que la fin du mot, ce qui fait, que la plupart du temps, il n'y a que des rimes féminines.



Bonne soirée

Bacchus

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

Bonsoir Bacchus

Poème original, les voyelles vont et viennent et sans les elles, les consonnes s'ennuieraient et dans cette harmonie entre elles naissent les mots. Il est vrai que très souvent elles terminent les mots.

Amicalement Franie

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Bonjour Franie,

Donc les voyelles finissent souvent les mots et s'affligent, dans leur féminité, des maux.



Bonne journée !

Mes amitiés.

Bacchus

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

une lettre sans voyelle, c'est une statue sur un socle

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
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