Le traintrain de la vie est d'un tel intérêt
Que s'y entretient l'écueil de la oiseuse
Qui n'a rien de l'Å“il et qui est paresseuse
A force de se croire en effet d'un benêt.
Car ce dernier est un respect de la forge
Où il veut contenter l'aspect du coutelet
Et éviter ce qui peut être contrefait
En un ruisseau de lave où est le feu en gorge.
Mais quel est le reflux à ce qui est parfait
Pour retomber d'un cran où est la fatuité
Et ainsi reculer où en est l'impuissance.
Alors que la douceur à ce qui est tranchant
Est dans le bon motif de qui va à l'aisance
Pour vaincre le profil à qui n'est que manant.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)