La stabilité du subconscient
Était au stade où scintillait le rêve
Ainsi qu'une vision de l'instant.
La nuit s'étalait sans laisser de trêve
En nourrissant la lune en profondeur
Bien avant que son courroux ne s'élève.
Quel était l'innocent et son acteur
Celui dont l'aura était de prestance
Alors que sa soif était de sueur.
J'aimais en ta voix le jeu en brillance
Mais ton accent n'était que dérision
A se solder d'un mal dans la vengeance.
Car ton regard était de confusion
Dans mon Å“il lascif et plein de jeunesse
Comme nos désirs étaient de passion.
Et ta fantaisie était de liesse
Alors que l'amour était consentant
Ainsi que le cœur était en tendresse.
La stabilité du subconscient.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
