Il ne faut voir dans l’altérité ni que du pire, ni que du meilleur, ni encore moins que du négatif ni encore moins que du positif ainsi que finit toujours par se trouver en elle la mêmeté de ce qui en l’autre se remet à l’identique. Or cela n’est remarquable que du point de vue de l’authenticité où l’être est dans le devenir de ce qui le ramène à la copule son étant et le maintient à partir de l’identité jusqu’à l’existant de ce qui se soutient où est l’être-au-monde.
Ainsi l’identité touche l’être là où sa crise ne le remet que dans l’effondrement de son devenir à se réaliser à escient où ce qu’il en est de la question de l’être, il en est aussi question de son altérité à en récupérer l’étant. C’est pourquoi partir de l’être de l’étant est un substitut qui ne sert qu’à finaliser ce qu’il peut y avoir de causalité dans le devenir de l’étant ainsi que ce dernier est toujours la copule de ce qui ne fait qu’intégrer l’être où sa vacuité n’est plus dans la contraction à ce qui fait défaut au néant. Mais il ne faut pas pour autant occulter ce qui n’est que dans l’effectivité d’une causalité à se récupérer ainsi qu’en une réfraction du néant qui fait de l’être de l’étant un retour du refoulé qui n’a que faire de ce miroir de l’individualité pour ainsi en parfaire le narcisse qui, au moins, n’a pas contre lui ce défaut de la fausseté de l’altérité et qui, donc, n’est pas cet objet qui pourrait se perdre dans la crise identitaire.
Car le véritable problème n’est pas celui du sujet ni de l’objet mais de leur manière de s’agencer à travers ce qui n’est ni pouvoir, ni connaissance, mais l’amalgame de ce qui en fait à la fois la désinvolture et la prescription en pâture. Que la sagesse soit dans la gain de l’objectivité ainsi que sa finesse soit dans le libre enjeu de la subjectivité. Car s’il n’y a rien sans rien, il n’y a pas pour autant tout avec tout. En fait la holistique qui dit que « [sa] tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l’évolution créatrice », est en fait une réaction à tout réductionnisme qui peut aussi s’apparenter à tout individualisme sociale. C’est pourquoi nous devons paradoxalement ramener le « sentiment d’individualité » au « culte de la personnalité » pour en parfaire la fausseté et ainsi éviter que la relation ne s’encombre pas dans ce qui peut en faire la qualité. En effet le modus operandi de la phénoménologie est la régression à l’infini qui se prolonge jusqu’à la substance alors que dans les catégories d’Aristote suivent après cette dernière la quantité, la qualité, la relation, le lieu, le temps, la situation, la possession puis l’action et enfin la passion. Or quand il n’y a pas régression d’une catégorie à une autre, il n’y a pas progression mais procession ainsi que dans une alchimie des matériaux où de la substance se transmuent des métaux afin d’en obtenir d’autres plus riches. Mais la régression n’est pas du tout une dépossession de la matière mais une aliénation de cette dernière à rendre plus solvable ce qui dans l’altérité de son authenticité est dans la nécessité à se trouver dans autre chose que sa mêmeté.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
