C’est pourquoi si nous en venons à la Métaphysique d’Aristote nous voyons qu’il y a l’être en acte et l’être en puissance qui viennent se recouper l’un l’autre comme une intention du dernier au premier. Et c’est donc le Pathos en soi-disant Enfant qui représente l’être en puissance en s’alignant en tant que subconscient dans la phénoménologie de l’être où vient se corroborer l’Ethos en soi-disant Parent qui représente l’être en acte bien que le monde des substances puissent s’unir entre le Logos ou soi-disant Adulte et l’Ethos ou soi-disant Parent ainsi que ces deux derniers principes forment dans leur complémentarité l’Esprit en regroupant l’omniscient et l’omnipotent.
Et comme le revendiquait R. Caillois les notions de pur et d’impur en étant des substances deviennent « mobiles, interchangeables, équivoques », et cela rien à ne voir que l’interchangeabilité de l’Esprit à œuvrer à la fois dans l’omniscient et l’omnipotent alors que c’est dans le Pathos qu’est la puissance mais que c’est dans le rapport de l’Ethos au Pathos que cette même puissance se voit distribuée en acte et que le Logos sert de catalyseur pour rationaliser l’impureté de nos mythes.
N.B. : Les notions de Pathos, d'Ethos et de Logos sont respectivement la Passion, l'Ethique et le Langage (verbe rationnel) ; respectivement rattachées à l'Enfant, le Parent et l'Adulte dans l'analyse transactionnel.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)