A vanité, vanité sans demi
A ce qui est dans le cœur sans reproche
Et n'a de véhicule que déni.
Car l'amour n'est pas un esprit en poche
Qui aurait la dextérité du sens
A donner à ce qui distrait la roche.
Il n'y a qu'un dérèglement des sens
Et il est génération de base
A ce qui accélère les instants.
Car la volonté n'est que table rase
A ce qui ramène à son sentiment
Le vertige où son repère est l'extase.
Mais il y a un symbole éminent
Qui est dans l'unité de la substance
Et qui est seule intuition du vent.
Car c'est là l'élément de la présence
A s'assujettir au regard qui fuit
Que pour ne revenir sans nonchalance.
A vanité, vanité sans demi.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)