Il n'y a pas de fin...
C'est d'un esprit mutin que mon cœur résolu
A fait du devenir un moment sans supplice
Et même d'un regard un étonnant délice
Jusqu'Ã m'en agripper pour fendre l'inconnu.
Il y a tant d'espoir à ce qui est reçu
Par ce que mon sujet sait trouver de complice
A ce que la beauté a en élan propice
Pour permettre à son axe où est le contenu.
Il n'y a pas de fin sans un début sensible
Et c'est pourquoi mon être en est peu susceptible
A moins de gager sur le plein d'émotion.
Car c'est de la viscère où convient sa plaie
A jurer de son âme en pleine élection
De ce qu'il va brandir du long de sa futaie.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
