Un rêve qui s'enfuit . . .
Un rêve qui s'enfuit . . .
J'ai joué sur des airs aux notes électriques
Leurs souffles clairvoyants s'amplifient dans ma nuit
En un écho lointain tel un chant nostalgique
Me rappelleront-ils un rêve qui s'enfuit ?
Pourrais-Je t'appeler ? ta voix s'est endormie
Sans l'ombre d'une trace au pas de mon ennui
Comment la retrouver ? Dessine moi l'amie
L'empreinte d'un soleil dans mon coeur ébloui.
Pourra-t-il éclairer vers des flots d'espérance
L'océan de mes peurs où se noient tous mes maux ?
J'aperçois ton visage au regard d'innocence
Qui berce ma souffrance en caresse de mots.
Aux vagues du néant jaillira ta lumière
Emportant nos secrets aux rouleaux bouillonnants
Où s'élève une lame, écume de mystère
Deux plages de désir, deux corps tourbillonnants.
Pascal.
Bisous à toutes et à tous.