Bonne fête papa,
Je t’aime, ne l’oubli surtout pas.
Si mes oreilles avaient sues entendre,
Les murmures de ta sagesse,
Si mes yeux avaient sus voir et comprendre,
Ton art dans toute sa finesse.
Si ma tête cessait de tout comprendre,
Ma bouche cesserait de s’ouvrir,
Ainsi mes oreilles arriveraient à saisir,
La compréhension que je n’ai cessé de prétendre.
Bonne fête papa,
Je t’aime, ne l’oubli surtout pas.
Si le temps ne filait pas si vite,
Je pourrais remettre à demain cet hommage,
Pour une fois, je serai un homme sage,
Et n’attendrai pas qu’on m’y incite.
Si je suis la moitié de l’homme que tu es,
Déjà mon travail sera fait,
Si j’arrive à m’élever à ta hauteur,
Je trouverai le chemin du bonheur.
Bonne fête papa,
Je t’aime, ne l’oubli surtout pas
17 juin 2007
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François Dutrisac
" Il est évident que nous nous précipitons vers quelque entrainante découverte, quelque incommunicable secret dont la connaissance implique la mort" -Edgar Allan Poe