Le principe est sans début ni fin
Il n'y a que le vide où est libre
Ce qui nous mène à notre destin.
Il n'y a que bonté en calibre
Pour trouver où nous réincarner
Ainsi que le cœur en est la fibre.
C'est le cosmos dans la société
Qui nous reçoit dans l'indéfectible
Là où l'esprit se met à sonder.
Mais rien n'est vraiment inaccessible
A cette âme aspirant de candeur
Bien que son cœur est intraduisible.
Si bien que le culte est de langueur
La foi n'en est pourtant pas éprise
Et sait réagir à la pâleur.
Or l'éthique n'y est pas comprise
Comme les versets en sont le bien
En attendant la terre promise.
Le principe est sans début ni fin.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
