Or, donne à ce jour anse à flamboyer, du Ciel
L'accord que juge amant, d'encore une heure au monde
Dernier denier d’argent, son son se sonne immonde
Mais jamais je n'épuise un crédit essentiel

Des attraits qui sont hors, boiseries en forêt
Ces trésors de branches, ses troncs pour embrassades
Où des yeux font rayons illuminés cascades
Radieuse arraisonne en moi l'errant en l’orée

L’adorée te rendort pour une année de rang
Déborah bohémienne à l’humour demeurant
Sauvegarde en herbe et fruit de sauge ou de fraise

Une Rose à l’Éros en rosace à païens
D’âme non quantifiable en l’arbre ayant nos liens
Son Amour infini, sols mourants, qui te baise*

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(*ancien sens positif de « baiser » signifiant qu’on baise une joue par une bise)

Bonjour Jacou,

Magnifique poésie sur cet armageddon en des références bibliques !



Belle journée cher ami poète Jacou !
Toutes mes amitiés
Sybilla


PS : Tu ne commentes toujours personne...
Essaie s'il te plaît de faire un petit effort. Ne serait ce que 4 ou 5 commentaires par semaine quand tu postes, sur quelques poésies des membres d'Oasis des artistes.
Ce n'est pas la mer à boire...

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)