Être l'architecte de ma vie bienheureuse Suppose que je me débarrasse de beaucoup De mes possessions matérielles trop floues, Que j'arrête d'embrumer mon âme peu pieuse
Avec ces cibiches aux aromates Qui m'empêchent d'être plus honnête, Et elles me transforment en automate Qui, pour venir, attend la verte sonnette.
Or comment être le Bien ultime Si des plus futiles de ces malheurs Au plus grand des Maux, guère je ne supprime Mes penchants animiques pour cette douleur ?
Ô j'atteins bientôt vingt ans et sept maintenant Que mon âme s'embrume afin d'ignorer Ma corporelle enveloppe étiolée Mais le Bonheur ne se touche en s'aliénant !
Oui dans la forêt de notre être il est des clairières où il fait bon vivre,! Juste laisser entrer la lumière car toute lumière est vérité qu'elle éclaire merci pour ce beau et touchant partage
Amitié poétique Bises de luz
---------------- Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. Le DalaÏ Lama
Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran