L'idéal est de tous les jours
Où dans la nuit il se dispense
D'être le fléau des amours.
Il est plus profond qu'on ne pense
En se faisant altérité
Qui à nul hégard se compense.
Il est de la mondanité
Le siècle qui s'ouvre à l'espace
Dans la même fugacité.
Pourtant son pouvoir est dans sa trace
Et qui remet l'indifférent
Pour qu'en son esprit il se tasse.
Et sa pensée est un moment
Où sa force est dans la puissance
A ce qui se rend convenant.
Son éclaircie est à la chance
Où se façonnent les contours
De l'arc-en-ciel et sa luisance.
L'idéal est de tous les jours.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)