Quand enfin, parvenu au bout de la pensée,
Qu'il nous faudra venir, là , pour la commenter,
Sachons le faire de manière plus habile
Que de déposer des compliments trop futiles.
L'accalmie est au bout, heureusement pour nous,
Et surtout moi qui part, souvent dans des courroux.
Quoi qu'il en soit, là j'ai goutté à cette prose,
Qui donne à réflexion ou mieux qui le propose.
GUY