C'est au sommet de la séduction qu'Apollon peut se faire cruel alors que c'est dans l'inspiration que Dionysos peut se faire joyeux. Cependant Apollon comme Dionysos sont des instincts créateurs qui inclinent pour le bien pour le premier et pour le mal pour le second. Mais il ne faut pas les confondre avec des instincts plus superficiels que sont Eros et Thanatos qui sont, quant à eux, l'instinct de vie et l'instinct de mort et qui ont pour eux une répartition plus superflue du bien et du mal. Quant au Pathos il est épris de la profondeur attractive de l'Eros et est en pleine résistance devant la répulsion de Thanatos. En ce qui concerne Hermès il fait bon commerce des rêves alloués par Hypnos, le dieu du sommeil (ne dit-on pas que la nuit porte conseil ?) et fait bonne interprétation des verbes affublés par Logos, le maître à penser de la science. Il ne nous reste plus qu'à considérer l'Ethos, c'est-à -dire l'éthique qui s'imbrique entre le Logos et le Pathos où il se révèle être une forme de subconscient de la résilience.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)