Il est né intuitif, le poète finaud
Mais s'est-il amusé du fond de la disgrâce
Au point d'en être épris pour que l'amour se fasse
De sa prosopopée à remuer les maux.
Il sait d'où vient le tort surtout en faux dévôt
Alors que le mépris rime en plume assez lasse
Pour en restituer le mot d'ordre en menace
Qui ne déplaise au coeur qui soit aise en défaut.
Mais seul le bel esprit est apte de finesse
Et la subtilité est bien plus chasseresse
De ce qui fait nuance à la fierté du mot.
Or il n'y a pas d'art pour le jeu atypique
De celui qui s'écrie au génie excentrique
Du volet cathartique et qui s'ouvre en linteau.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)