Advienne qu'il advienne et qu'il fasse bon train
A la calamité de ce qui fait refrain
Pour subvertir l'enclin à la métamorphose
Qui ne fait que cambrer l'esprit en symbiose.
Et si l'amitié est ton premier ressort
Alors sache que l'Être est ton ultime effort
Et qu'il se sacrifie où l'amour est sans haine
Alors qu'en son confort est l'enjeu de sa peine.
Mais il y a des sens à donner au plus fort
A ce qu'il revête un peu plus que son accord
Car ce n'est pas sans rien que l'esprit s'y exprime
Et ne fait qu'engager ce qui est dans sa prime.
Advienne qu'il advienne en plaide le devin
Et sa superstition n'est qu'un rictus malin
Qui ne sait qu'achever un accessit débile
Pour mieux le plafonner où est l'émoi sénile.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
