Quand la sécheresse n'irrigue plus
C'est le fléau avec des flux contraires
Qui dans son déséquilibre n'est plus.

Car c'est en s'alternant que vit la terre
Passant de la chaleur à la douceur
Comme un progrès de l'ombre à la lumière.

Mais peut-on jurer d'un monde meilleur
Là où il n'y a que l'oligarchie
Pour traiter la part qui fuit au bonheur.

Et l'espoir de la méritocratie
N'est-il pas voué à la mauvaise foi
De ceux qui s'impliquent dans la folie.

Quelle priorité à être soi
Si ce n'est dans l'esprit de mesure
Pour se retrouver dans la pleine loi.

Mais comment trouver la bonne ossature
Quand avec le moins on peut faire plus
Et faire se dresser notre culture.

Quand la sécheresse n'irrigue plus.

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

oui dans le déséquilibre le coeur et l'humeur ne vibrent
b journée

Bonjour Bacchus,

Un poème qui raconte le désarroi de notre terre qui
meurt de soif bien exprimé,

Merci du partage émouvant bonne journée
Amitiés

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très compliqué tout cela, à qui faire confiance quand les responsabilités sont dispersées comme le pollen , soufflons, bravo pour ce partage



yann

des mots qui résonnent, pour les maux de notre siècle...

sacrément bien dit, malgré tout... sécheresse n'irrigue plus.. triste, amer est le constat.

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Prêcher dans le désert dispense des mauvais échos....

Seules les montagnes savent donner dans l'écho logique....

Bonjour Armand,

De superbes tercets pleins d'une immense profondeur !
Puisse ton message être entendu par ceux qui nous gouvernent partout dans le monde !

Magnifique poésie en partage !



Belle journée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonsoir à toutes et à tous,

Sympatique, un déséquilibre qui bride nos viscères
Maria-Dolores, la famine dans le monde, une tristesse
Yann, en effet les responsabilités n'offrent pas les mêmes partages
Isabelle, le constat est amer, en effet
Antoine, merci pour la bonne humeur en ces jours difficiles
Sybilla, merci pour ton message d'humanisme

Merci du partage !

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

le mensonge, la mauvaise foi, l'avidité ont irrigué le sol, et les fruits sont amers

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

bonjour , le titre en lui même est une superbe métaphore , l'individualité et l'ignorance ont pris le dessus sur la raison aussi bien pour la propre espèce humaine que pour sa terre nourricière , c'est désolant
c'est superbement écrit
mes amitiés
Yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Bonjour à tous deux,

Zaghbenife, en effet les cultures abondent en mauvais fruits sur notre si belle terre nourricière.
Yohann, en effet j'aime bien cette métaphore qui est aussi un peu un oxymore pour marquer les contradictions écologiques de notre époque.

Merci pour vos partages !

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)