La solidarité du cœur est une estime
Qui ne trouble pas l'ordre où s'investit l'ardeur
Car l'amélioration d'un acte en connaisseur
En parvient à l'humeur en esseulant le crime.

Jamais plus scandaleux ne fut ce vain effort
Où l'amour est l'éclat des vertus qui embaument
De fièvre les discours où l'art jamais ne chaume
En saluant l'esprit et l'âme du confort.

Car j'ai envie d'aimer follement une femme
Les dérives du cœur ne voulant pas fléchir
Et gardant pour soi l'être allant à son entame.

Déjà à se suffire il y a le désir
Où l'histoire est un genre où l'humour se désiste
Ainsi que le drame au satyre lui résiste.

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

merci Bacchus pour ce joli poeme!

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Bonjour Bacchus,

Un poème délicat sur un thème un peu sensible
Un beau partage toutefois que j'ai apprécié de lire
Belle journée
Amitiés

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Bonjour,

Douceur, merci du partage.

Maria-Dolores, en fait c'est inspiré de "La naissance de la tragédie" de Nietzsche où le satyre est le symbole dionysiaque.

Bonne journée à vous !

Bacchus

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

Bonjour Bacchus,

Superbe analyse de ce satyre en ta belle poésie en partage !



Belle journée cher ami poète !
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

Bonjour Bacchus,

Un très joli poème agréable à lire. L'envie d'aimer est souvent si forte qu'il vaut parfois se résoudre à vivre que du désir plutôt que du passage à la consommation de l'acte d'amour.

excellent sonnet

qui évoque désir !

Car j'ai envie d'aimer follement une femme
Les dérives du cœur ne voulant pas fléchir
Et gardant pour soi l'être allant à son entame.

Déjà à se suffire il y a le désir

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Sybilla, c'est plus qu'une analyse du satyre, c'est l'épopée de sa dimension dionysiaque.

Roman, il est vrai que le satyre est l'apologie de l'amour charnel plutôt que de l'amour platonique.

Cyrael, je comprends que la transition finale vous ait touché comme c'est l'épopée de l'amour dionysiaque, Dionysos portant les jambes du satyre.

Merci du partage !

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)

parfois entre aimer et posséder surgissent les trébuches
merci pour cette belle réflexion poétique

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

Bonjour Zaghbenife,

Il est vrai que l'acte charnel peut s'aliéner de sa dimension amoureuse alors usurpée.

Merci du partage !

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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)