C’est le coup de foudre : il n’arrive qu’une fois !
C’est comme un trépas qui jamais ne se répare
Et pourtant un moment il faut qu’on se sépare
C’est comme ça et il n’y a pas d’autre choix !
C’est le coup de foudre, il vous prend où est son rêve
Et comme une proie il vous piège et vous meurtrit
Sans que la pitié soit sauve il vous engourdit
C’est ainsi qu’en sa force il ne laisse de trêve.
Je l’ai à peine vu venir qu’il m’a happé
Et comme un sortilège il m’a désabusé
Jusqu’à son illusion où j’ai cru en l’ivresse.
Mais je savais que cet amour n’était que vain
Que seulement les jours se sont joués de tristesse
Pour ne s’animer que sans un dernier festin.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)