Des livres de quantas mathématisent tristement,
Des réductions de paquets d’onde tombent du sombre rougeoyant,
Des postulats briguent aux chenaux comme des lumières noires,
Et puis les ports font un rêve rempli de visages vides, superposés…

Supposés, en décohérence … en transe,
Un rêve qui honni pense.

Cherchons une Réalité aux regards sereins qui s’esclaffe,
En silence,
Qui s’esclaffe dans le message serein, détendu
Sous l’accent cryptographique,
Une confidence pour confidents, hors trajet

(et, de la frontière polygraphe du graphe,
Elle s’envoie en l’air,
Sans se taire, sécuritaire, unitaire,
Aux solutions secrètes qu’Elle a vues,
Entrevues,…).

Et ... de la frontière polygraphe du graphe,

Elle ne nous communiquera pas sur l’arbitraire des hasards,
L’aléatoire statistique, la polarisation intriquée,
Étriquée, de la Clef.

Comme celle qui dit à Benett et Brassard : « Vous verrez ! »
Comme celle qui dit :

La flèche cupidon de transmission,
La direction de transformation,
La convention en action-réaction,
Nos fatales liaisons,
Nos préméditations en prisons de pions.

Et c’est Elle qui écoutera et dira à la source nos photons les plus polissons ...

Bonsoir Cavalliero,

Merci pour le partage poétique onirique!



Belle soirée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)