Les méandres en secret de l'amour
N'ont qu'Ã subir l'espace des abysses
Pour galvauder leur éternel retour.
Des ténèbres s'instruisent les solstices
Comme d'une passion sans sa beauté
Qui se remet en jeu en interstices.
Mais pourquoi cette pierre est à jeter
Alors que l'équité est inégale
Et qu'il faut s'en remettre à la fierté.
Sans jeter la liberté idéale
Il ne faut pas appâter son esprit
Pour qu'illusion elle soit vespérale.
Mais la volonté est ce qui séduit
Dans les horizons, au bord des supplices
Pour ne plus décliner que l'art maudit.
Car c'est bientôt l'épopée des vices
Où est très lascif le jeu du contour
Et ainsi mieux en happer les délices.
Les méandres en secret de l'amour.
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La poésie n'a d'autre perspective que d'ouvrir l'imagerie mentale qui est la porte de l'imaginaire.
(citation personnelle)
