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Expéditeur Conversation
Tradescantia
Envoyé le :  24/7/2022 5:10
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Les artistes


Paysage de Raphaëlle
Aquarelle de Cassandra
Graffiti de Clarisse
Lai de Nathalie
Dits de Lin
Camaïeu rouge de Marina
Ballade de Miyuki
Slam de Line-Christelle
Adagio de Myriam
Guitare de Stéphanie
Chanson de Luna
Barcarolle de Francesca
Thrène de Marianne
Improvisation de Roseline
Supplique d'Esperanza
Collage d'Alessandra
Haïkus de Sayuri
Danse de Lucinda
Craie d'Actinia
Aquatinte d'Anaïs
Calligraphie de Meilihua









Paysage de Raphaëlle

où perdre cadrans et toponymes
multitudes et chiffreurs
la saillance d'un genou exhausse le papier
et la halte se délinéamente

aquarelle jubilation tel un pleur pluriel
pour baigner la palette
réunir en pinceau l'ardent diaphane de la main

les élancements des berges
soulagent le saisir
romanesque comme tutélaire

gouttes d'ambre au bord d'un arceau pastel
parmi les céladons limbiques
processionnent des créatures bonhommes

dans son déliement de gaze
une fauve dentelle onde des ruines virtuoses

un translucide coquillage
médaille et flambe
au sein de la soulane verte

gris-bleus acérins des aigus des arêtes
s'abandonnent au sfumato
qui approche par degrés les thébaïdes de neige

et les ajours du prénom qui signe
intiment à toute idée de source
l'épanchement du clair de pupilles









Aquarelle de Cassandra

Le noir jais de l'oiseau
se délaie
à travers le bleu ciel

La pesanteur de mon érythropoésie
rosoie
au profond des bois s'allumant de verticales

Nous avons étanché la synchronie de nos soifs
à l'arceau que fait sourdre la fontaine
quand elle musique la transparence









Graffiti de Clarisse

sur des limbes rouge orange
par intervalles des encres brunes
dépouillent le ramifié

cette diastole pour paysage
embrasements et ponants
y baignent leur commune enfance

la perte allume ses aubiers
et sous la pleutre itinérance
suggère d'incandescentes lettrines









Lai de Nathalie

où l'ombre
couvre la neige
c'est un sûr chemin

où la neige n'est pas atteinte
par l'ombre
mes pas s'enfoncent

fossile de neige
exagération du clair
mes pupilles au supplice
je puis traverser
des champs
encore

où donc arriverai-je
lorsque toute la lumière sera versée dans mon voyage ?









Dits de Lin



Bifurquée

mon irrépressible désir
de suivre l'oiseau de jais
dont la furtivité
crée la perpendiculaire du chemin



Avancer

lilas couleur de rouille
le chariot printanier grince
sur la route de l'été



Astronomie de tes cernes

voûte en mon tréfonds
deux lunes y rivettent
leur disque violâtre



Instant de conte

lutins espiègles
qui grimpez aux maïs
éclatantes vos chevelures rousses
sous la poussière de pluie



Renard furtif

soif blonde des blés
cette goutte de cuivre animal
déjà bue



Traits

l'horloge
ce sagittaire

et par les plaies larges
venues
aux trains du soir
ce saignement
de vouloirs
de visages
de vêtures
dans la lumière
qui s'orange



Bleu germinal

semailles d'oiseaux
dans le sillon du ciel

et cette céréale solaire
pour l'appétit du vrai



Odorat consolateur

parfum
de l'orange
par les mains
mise à chair
et partagée sans convive

à ce point subtil
qu'il sait habiter
l'interstice
où la coulée des yeux
se départ
du chagrin



Opulence glacée

aurore insue
rafale de lumières
safranées
écrin d'ambres
et de vermeils
renversé
profusément
sur les chemins
en puissance de neige



Ivresse

le vin vaste et safrané
dans la coupe
que violettent les montagnes

qui l'a bu d'un trait sûr
pour que le chagrin noir comme un ciel
pétille soudain d'étoiles ?



Métaphorique

comme une canine
noire
la cime
du sapin
avec sa réticence
à percer
la chair liliale
de la lune



Méconnaissable

loup de lumière
pour le bal de l'aurore
et la mélancolie
ne m'identifie plus



Étanchement

avec l'eau bleue
du ruisseau
boire
le midi des choses



Route sous le soleil d'hiver

dans le moule des empreintes gelées
le patient ouvrage
des traversées d'or



Matinale

lacis de veines
dont la couleur
est une quiétude
dans les confiances
qui verdissent

et la seconde
s'étoile
comme un ballon lâché
par un sommet
sans convoitise



Flocons

cet évangile
de la neige
fait danser
le vent prophétique
sur les toits
empanachés



Ciel

nuages
ossements diffus
éthérés
dans l'expectative
de la grâce
et du sang



Essor

Sur la montagne
j'ai porté haut
ton absence

un filet de larmes
à force de vent
y devint cet oiseau
de sel et d'eau
aussi fugace
et sans repère
qu'un instant de joie pure



Vagabond sélénien

j'aime
par les nuits
glacées
et crépitantes
chausser la vaste terre
qu'épouse la neige
couleur de lune



Fragile

papier de soie
qui devint
fille blanche

elle brûle
dans la flamme lascive
de sa danse



Désheurée

un arbre sec
ses ramilles sans nombre
ont quelque chose de rose
dans la lumière du presque soir

myriades d'arantèles
brasillent dans la brise

l'heure
a beau sonner au loin
chacun de ses coups
s'y prend



Plénitude

à la lame
du jour
un éclat
d'oiseau
épouse
ma lacune









Camaïeu rouge de Marina

I

Feuille comme fer de lance
dans l'ombre ensauvagée
du fruitier des paresseux

Aux foulées dévolu
alumineux petit coeur
et quelle aortique embellie

Reste de craie
chair de bruine
près du dessin inachevé

Les pierres comprenantes
qui borduraient ta dépouille
jalonnent ma baguenaude

II

Languide

à travers les frondaisons
s'enténébrant

cet enlacis de veines
que l'indicible taille

le macassar et le méranti du ponant
effusent sur les prévenances de ouatine









Ballade de Miyuki

Légende

taillés dans la pierre jadis
des dragons gris
au sommet d'une longueur pentue
sur les degrés d'un escalier
qui domine la ville

dardent leurs regards enfants

les roses rares
dont la tutelle les borde
leur développent l'ardeur
du vol et du feu plus éclatant
que toute la cathédrale

au déployé de sa rosace









Slam de Line-Christelle

et fatale arythmie
mon nom
se détache
de la cime du chagrin
voyelle
consonne
par intermittence
m'épelle l'automne
en presque feux
en ors discrets
avec l'inflexion de ton silence









Adagio de Myriam


à travers la chambre
sourd le piano

flacons
et sursis
y clairent leurs ambres

leurs safrans échoïques
abat-jour
et carreaux


une si simple vigueur
vient deux fois
à la lame

pour couler
les veines
sur l'adagio


par-delà
les durées
liquide piano

que le rouge
musiquémique 
colore









Guitare de Stéphanie

Le temps
a pris la forme
de ta guitare
sa rosace
qui demeure
sous le porte-bouquet défleuri

l'intègre chaleur de la chambre
dans la chair du silence
retrouve parfois tes mains

alors à l'aune de mes insomnies
je ne doute pas des premières notes
ni du grandissant contrepoint de nos regards









Chanson de Luna

encres de Chine
dans la nuit d'hiver
que dessinez-vous ?

encres de Chine
parsemées d'étoiles
que dessinez-vous ?

encres de Chine
poussées des terres de neige
que dessinez-vous ?

encres de Chine
sur la chanson du ruisseau
que me dites-vous ?

j'ai bu le vin
qui pesait dans mon baluchon
et faisait profondes
les empreintes de mes pas

encres de Chine
me laisserez-vous devenir
un trait de votre poème ?









Barcarolle de Francesca

vaisseau intérieur

la voile
tissue par la bruine filamenteuse

et le grand vent de l'alphabet
embarque le nautonier des songes

le périple abandonnément
enchâsse une escale d'émeraude
dans l'aigue-marine liquide

l'île est la fiancée des sens
la source des guitares nocturnes
le lexique des reviviscences intimes

ainsi pour long temps de veines exaucées
long temps d'horizon palimpseste
de verbe marginal
ainsi pour les arpents du neuf
je les ligne
et je les range
cette ville monologique
ces images recrues
de la voile









Thrène de Marianne


bourrasques
les tombes frissonnées
s'effeuillent
et n'en finissent plus
d'aimer à la folie


échappant
de mes doigts manuscrits
ta dernière lettre


bourrasques
au ciel platine
hanté de cendre
envol
d'une colombe de vélin


ton linceul
épouse le haut-relief
de ma mémoire


bourrasques
le photophore et les fleurs
bousculés
auront besoin
de mes mains vives


j'ai vu ta pierre
envisager
les narines du vent


bourrasques
le grand cierge
soufflé
rayonne
ses oraisons de pluie









Improvisation de Roseline

sur une page de la tragédie,
dérobant la fin du dodécasyllabe,
une maculature d'encre pâle
évoque une tête d'hippomorphe

mon imagination est emportée loin du livre

et si la chevauchée soudain s'alentit
c'est afin qu'Iphigénie,
s'étrangeant du bûcher oraculeux
et du déchirement d'Agamemnon,

se serre contre moi sur le fougueux moreau









Supplique d'Esperanza

encore
ton or
soleil
pour humilier
les médailles nécrophages

encore
ton argent
lune
pour prosterner
l'orfèvrerie spasmophile

encore
ton bronze
peau offrante
pour agenouiller
les statues ravisseuses









Collage d'Alessandra

À l'orée du rouge

au bord de l'étang lacune
le cercle de pierres blanches
qui circonscrivait la cendre

un peu plus à l'ouest avec des frondes
de fiers enfants brûlent
de lapider l'albescence des essors









Haïkus de Sayuri



Onzeseptembre

mère sevrée d'aube
à la ruine reculée
poindra le poème



Ta tombe

étrangers au vent
la grave nacre du lys
l'or de tes voyelles



Dépouilles de neige

maints gisants cendreux
la pleine sève foule
dans son allant d'yeuse



Couchant

troubadours d'étoile
à travers le bois dédié
je glisse à vos ors



La soif authentique

eau mince hors la pierre
à l'entrelacs de mes mains
la coupe et l'agape



Onzeseptembre

poussière en dédale
aux porte-voix de cent vrais
seule une toux grasse



Le signet

sa moire lilas
sur l'à-pic du florilège
une cascatelle



Levant

braise s'ouvrant l'onde
une voie déjà passe
le tout premier spleen



Fonte printanière

ubique cristal
et kaléidoscope
d'oiseaux prodigués



Ta tombe encore

dans ton marbre noir
l'avrillée aura serti
un bris d'échappée



Onzeseptembre

calvaire hypogé
à couvert du bafouillis
le flambeau poème



Haïkus du dialogue

la Palestinienne
 
mon pouls solaire
qu'y puis-je si ses rayons
passent la frontière
 
l'Israélienne
 
ma fleur d'artère
qu'y puis-je si l'éclosion
franchit la guerrière









Danse de Lucinda

De la musique
de la musique matinale
vient d'aplomb sur la rue si passante

j'écoute les yeux clos
le visage effleurant
les voilages en fleurs

ô accordéon doux
qui sais taire les tumultes
et comme sur le parvis
accrocher des danses
aux ressauts de la maladie









Craie d'Actinia

Je suis entrée dans la nef gothique
avec un sursis de craie rose pastel
qu'au plus pétulant d'une impasse
abandonnèrent des enfants d'attrition

Et à taire ses paraboles hyalines
tendait la hautesse des quadrangles
pour se muer en tableaux vespéraux
offerts aux naïvetés de la passagère

Mais le ravit la fugacité multicolore
qui glissait son semis de venelle en venelle myste
et le roula jusqu'au pilier de soutènement
dont la blêmeur réclamait un mot d'horizon









Aquatinte d'Anaïs

Voilages
éberlués oiseleurs
d'une neige rémige

Notre sibylle en flocon
rémittentes tesselles
de l'essor rebroussé

À travers la serpente de brume
une aquatinte vitale
délinée l'intermède des aubiers









Calligraphie de Meilihua

De l'urne inclinée soudain
par ces mains aériennes à suppléer l'éther
s'épancheraient tes cendres
 
sans rien ombrer de l'ardeur bleue des lavandes
elles se fondraient dans le sud que nous frayâmes
oh ! cette incandescence du souvenir impuissante à les joindre
 
mon reflet pulvérisait tous les miroirs
les yeux chers parcellisaient leurs candeurs
et le papier de riz éperdument neigeait la saison de l'absence
 
j'ai eu si mal
de demeurer
et les vadrouilles
m'ont gîtée
 
tous les traits
de mon nom
éparpillés
mais s'en saisit le poème que tu aimais
 
si long temps de pierre sans eau et de feuille blanche
si long temps d'encre que n'émancipe pas son broiement
et de pinceau orphelin des forces exactes
 
il y a tant à réunir pour se résoudre en geste
les tressauts du myocarde broussaillent les tracés
et l'accolade des langueurs enserre l'équilibre
 
pourtant, mon amour, à ta voix qui s'escrime à poindre
il monte comme une évidence de ciel
derrière le dragon gauche




Tradescantia


islander
Envoyé le :  24/7/2022 9:57
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 11/4/2009
De: Baltimore, Bretagne
Envois: 57705
Re: Les artistes
je n'ai lu qu'une partie, mais il y a de quoi être épaté, une poésie merveilleuse, merci, bon dimanche



yann



cyrael
Envoyé le :  24/7/2022 10:49
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 30/10/2005
De: ****
Envois: 83557
Re: Les artistes


joli partage


hélas, je ne puis m'attarder sur chaque poème

bravo tous ces artistes mis à l'honneur sur la PAGE D OASIS


----------------
l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Sybilla
Envoyé le :  24/7/2022 13:49
Modératrice
Inscrit le: 27/5/2014
De:
Envois: 95611
Re: Les artistes
Bonjour Tradescantia,

Je t'ai lu jusqu'au bout malgré la longueur de ton texte qui avait de nouveau bloqué mon téléphone que j'utilise pour venir sur Oasis...

Que de superbes images poétiques en de très beaux hommages à tous ces artistes !



Belle journée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla


----------------
Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Tradescantia
Envoyé le :  25/7/2022 4:48
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Re: Les artistes


Bonjour...


... Et le prime rayon du jour nouveau s'épanouit en corolle de Gratitude...

On oppose souvent, presque traditionnellement, l'art à la nature, c'est que sous l'empire de cette dernière tout est précaire et changeant, tandis que par le charme de celui-là, existe véritablement cette sensation vertigineuse de s'attarder, de durer quelque peu, par-delà la finitude même des complexions du vivant...

Les artistes... expriment chacune à leur manière non seulement leur idéal esthétique, mais encore leur joie d'être, un moment de création comme un miracle, sur une Terre du Ciel, idéalement distante de son étoile...

La journée vous soit une aventure humaine et poétique ! ...


Tradescantia


NoireLune
Envoyé le :  25/7/2022 9:58
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 20/11/2011
De: Où le rêve rit...
Envois: 31974
Re: Les artistes


Bonjour à vous...Tradescantia
Votre facilité d'écriture est déconcertante...

Très amicalement...



----------------
La Poésie ça sert à faire du bien...
ça dénoue le négatif...
et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale...

ZAGHBENIFE
Envoyé le :  25/7/2022 10:27
Mascotte d'Oasis
Inscrit le: 7/11/2015
De: ALGER
Envois: 33620
Re: Les artistes
hélas trop long je n'ai pu tout lire
au moins les artistes sont mis à l'avant


----------------
https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/

eddy
Envoyé le :  26/7/2022 2:08
Plume de platine
Inscrit le: 26/12/2021
De: Ardèche
Envois: 2716
Re: Les artistes








Lecture éblouie de ces poèmes étoilés

Ecrits sur parchemins d'or velourés,

Vélin des Légendes Astrales,

Au coeur des galaxies cérébrales

Dans les lueurs évanescentes

De l'aube printanière.

Une symphonie de mots fabuleux

Qui réinventent l'écriture poétique

Et nous projettent dans un autre univers !

EXTRAORDINAIRE !!!!


Eddy
Tradescantia
Envoyé le :  26/7/2022 5:50
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Re: Les artistes
Bonjour Eddy, Zaghbenife, NoireLune,


Ma Gratitude grande à l'égard de vos lectures et des paroles qu'elles vous ont inspirées...

... et de votre poème, Eddy, dont la musique fervente monte vers les artistes émues pour se joindre à la leur...

« Vélin des Légendes Astrales,

Au coeur des galaxies cérébrales »


La journée vous soit radieuse ! ...


Tradescantia


Peyrepertuse
Envoyé le :  26/7/2022 8:28
Plume de platine
Inscrit le: 13/1/2016
De: Orange
Envois: 7473
Re: Les artistes
Un bel hommage à des tas d'artistes qui le méritent très certainement mais Dieu que c'est long. Peut-être aurait-il fallu faire plusieurs écrits?

Amitiés.

Tradescantia
Envoyé le :  27/7/2022 4:19
Plume d'or
Inscrit le: 13/7/2021
De: Zhoushan Xiaosha
Envois: 658
Re: Les artistes
Bonjour,

Je vous suis très reconnaissant, Peyrepertuse, d'avoir aussi sincèrement, aussi chaleureusement partagé les mots de vos ressentis...

La journée vous soit un instant artiste sur une Terre du Ciel ! ...

Tradescantia


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