Bonjour PHILIPPE,
Une poésie bien mélodieuse : c'est du cousu main, et la lecture demeure bien attachante.
Je suppose que MARIA, en parlant des deux premiers quatrains, Ã fait allusion aux vers suivants :
_ "La patronne sera brillante en camel"
et à :
- "Il est au sol, vite, un bon fil, essentiel"
dans lesquels il n'y a que 11 syllabes au lieu de 12. Mais si l'on considère que le mot "essentiel", en classique, se prononce en 4 syllabes (e/ssen/ti/el/) ce second vers a le nombre de syllabes voulu.
Belle fin d'après-midi.
ANDRÉ
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Citation :
La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André LAUGIER)