Quand le ciel nous abat ses pluies,
Des pleures ordonnant mille bruits,
Vives sur la face de terre retournée,
Viles larmes creusant les sols ridés,

A peine fut soleil qui sécha la moindre,
Vite la grise colère vint nous rejoindre,
Pourtant aubaine, mais aussi un mal,
A peau assoiffée, elle devint crue létale…

De fine poudre en poussière de vent,
En boue lugubre colorant les torrents,
Flux incessant de douleurs et hostiles,
Emportant les rives des plus fragiles,

Comme l’expression d’une conséquence,
Incontrôlable temps et sombre providence,
Quand tout se repose, le rappel est d’usage
Le bonheur s’équilibre à l’arrivée de l’orage,

Aussi grand que nous sommes au monde,
Dans ces moments, le climat nous gronde,
Si petit nous devons attendre que ça passe,
Et encore se plier à la notion de notre place…

LeCrieur...

Bonjour LeCrieur,

Ravie de ton retour parmi nous toutes et tous !
Ne dit-on pas après la pluie apparaît le soleil..?
Il en est de même dans la vie !
Ce que je te souhaite !

Magnifique poésie émouvante en partage qui touche les coeurs!



Belle journée cher ami poète!
Toutes mes amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates ""réelles"" de parution.

Le rêve est le poumon de ma vie (Citation de Sybilla)

Un superbe poème qui décrit avec force et puissance les éléments !
J'ai beaucoup aimé te lire !

Bonsoir leCrieur,

Et oui il faut savoir rester à sa place
un bel écrit bravo bonne soirée

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Merci pour vos commentaires

quand ça gronde on redevient petit

après le difficile vient le facile
après la brume vient l'éclaircie

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/
https://www.edilivre.com/le-spleen-de-la-logique-de-l-absurde-2c490d0b23.html/